![]() Après quatre ans de formation en poterie à l’Institut des arts appliquės de Montrėal, Louise Bousquet installe son premier atelier de poterie en 1975. Son but: faire du blanc. Pendant 30 ans, elle pratique son mėtier de potière en innovant par sa recherche effrontée de la blancheur. Son tournage fin, ses formes en harmonie avec la fonction de ses poteries séduisent rapidement une clientèle qui lui reste très fidèle. Suivant la trace de la ligne blanche, sa détermination la mène à Limoges en 1998. C’est là qu’elle s’approprie les procédés et matériaux industriels de la porcelaine fine pour les adapter ȧ sa manière artisanale. C’est là aussi qu’elle rencontre Guy Meynard, modeleur porcelainier qui lui insuffle depuis l’esprit de la porcelaine. Avec ce dernier et avec François Godier son conjoint, « fin penseur technique », la potière fonde Porcelaines Bousquet Inc. en 2002 et dès l’été 2003 commence, dans les règles de l’art porcelainier, la production signée Porcelaines Bousquet. |
Les gestes nécessairesLes gestes nécessaires à la fabrication d’objet céramique sont issus d’une longue tradition heureusement encore transmise. Ils se forgent et se peaufinent en harmonie avec une pensée respectueuse de l’argile. ![]() Les objets de la tableDe qualité comparable aux porcelaines fines européennes, les porcelaines Bousquet sont dessinées pour s’ajuster confortablement à un usage quotidien. Toutes les pièces témoignent particulièrement d’une grande maîtrise des techniques porcelainières : la théière est légère et délicate et son bec, c’est garanti, retient la goutte. |
![]() |